Son ambition est d’être la banque de référence des personnes d’origine portugaise en France. La Banque BCP parrainne souvent les clubs sportifs de la communauté portugaise. Mais cette cette population vieillit ou se transforme. Les plus âgés sont souvent rentrés au Portugal, les plus jeunes ont un moindre attachement à un service spécifiquement lusophone, tandis que l'introduction de l'euro dans les deux pays a simplifié les opérations bancaires et donc rendu moins nécessaires des établissements spécifiques.
Alerte sur la Banque BCP
Formée en 2001 par la fusion de plusieurs établlissements antérieurs, la Banque BCP est la filiale française de Millennium, qui se définit comme le premier groupe financier privé portugais.
Son ambition est d’être la banque de référence des personnes d’origine portugaise en France. La Banque BCP parrainne souvent les clubs sportifs de la communauté portugaise. Mais cette cette population vieillit ou se transforme. Les plus âgés sont souvent rentrés au Portugal, les plus jeunes ont un moindre attachement à un service spécifiquement lusophone, tandis que l'introduction de l'euro dans les deux pays a simplifié les opérations bancaires et donc rendu moins nécessaires des établissements spécifiques.
Son ambition est d’être la banque de référence des personnes d’origine portugaise en France. La Banque BCP parrainne souvent les clubs sportifs de la communauté portugaise. Mais cette cette population vieillit ou se transforme. Les plus âgés sont souvent rentrés au Portugal, les plus jeunes ont un moindre attachement à un service spécifiquement lusophone, tandis que l'introduction de l'euro dans les deux pays a simplifié les opérations bancaires et donc rendu moins nécessaires des établissements spécifiques.
De ce fait, la pertinence d'une banque comme la BCP est en question. Aussi, le groupe portugais a-t-il entamé des négociations avec la Caisse d'épargne, pour lui vendre en bloc la banque.
Le syndicat CGT a déclenché son droit d'alerte, pour qu'un cabinet puisse réaliser une expertise et la mettre à disposition du comité d'entreprise. La dirigeante du syndicat dans l'établissement, Isabel Mendès, déclare dans le journal Le Parisien (20/07) que son organisation n'est "pas contre l'arrivée d'un reprenseur. En revanche, nous voulons des graranties quant à l'emploi des 546 salariés et au maintien des 63 agences". Il y en a 9 dans le Val de Marne, dont 2 à Champigny, 1 à Saint Maur et 1 à Joinville (avenue Galliéni) - qui se situe à quelques dizaines de mètres de l'agence Caisse d'épargne.
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