Le troisième numéro de Joinville rive gauche, journal du parti socialiste à Joinville-le-Pont, vient d’être distribué en mai 2011 dans la plupart des boîtes aux lettres accessibles ou sur les marchés.
La nouvelle version du journal local du Ps, lancée en 2009, qui avec une maquette toujours aussi soignée (signée d’Eustache Tchicaya), même si une partie des numéros ont connu quelques soucis d’impression.
Le numéro s’ouvre sur ce qu’il faut tirer de la « salutaire leçon de démocratie » que, selon le premier secrétaire de la section socialiste André Maizener, que nous ont donné les révolutions arabes. Il considère « qu’un pouvoir politique, pour être au service d’un peuple, doit être accompagné de puissants contre-pouvoirs : le droit, la presse, le parlement. »
Un article remet les pendules à l’heure à propos de l’ouverture d’un ascenseur sur l’île Fanac : c’est grâce aux apports du conseil régional d’Île de France, présidé par le socialiste Jean-Paul Huchon, et aux apports de l’ancienne députée et ministre Marie-Anne Montchamp (Ump) que l’équipement a pu être financé, bien que la mairie ait prétendu avoir fait cela tout seul.
Pétronilla Comlan-Gomez, conseillère régionale socialiste, revient sur les menaces qui visent service de cardiologie de l’hôpital Henri Mondor de Créteil, et sur la mobilisation qui a permis, provisoirement, d’écarter la menace.
Un article fait le point sur le processus de désignation du candidat socialiste pour l’élection présidentielle, les primaires, sur lesquelles nous aurons l’occasion de revenir. Il est intitulé « choisissons notre champion. »
Une réflexion nous pousse à « penser autrement » en assurant que l’entreprise est « une idée de gauche. »
Enfin, il y a deux papiers sous la signature de Benoit Willot appelle à « Maintenir le parking du RER ». En me demandant si « c’est pas bientôt fini ? », je reviens sur les équipements publics qui sont dans les viseurs de la municipalité, avec les fermetures à répétition de services publics depuis 2008. Dans le dernier, je reviens sur une déclaration du maire, Olivier Dosne (Ump) selon laquelle « aucun élu ne peut rien » à propos des fermetures d’entreprises dans la commune : Logo (lunetterie), GTC (tirage de films), les Auditoriums de Joinville, Le Petit Robinson... Depuis 2008, la majorité municipale regarde sans réagir l’effondrement du tissu productif joinvillais. Contrairement à ce qui se passe dans d’autres villes – de gauche comme de droite.
- Joinville rive gauche n° 3, mai 2011 : télécharger au format PDF ou lire le journal à l’écran.
- Le site du Ps de Joinville-le-Pont : www.psjoinville.org