Les conseil municipaux de Joinville le Pont et de Saint Maur étaient hier saisi d'une délibération exprimant un "refus du prolongement en site propre du Trans Val-de-Marne". Selon le maire, Pierre Aubry, il faut comprendre que ce refus vaut, a contrario, acceptation d'un tel prolongement s'il n'était pas en site propre. Mais il a refusé une motion en ce sens, que j'avais présentée au nom des élus de gauche des deux villes. Il s'était, a-t-il déclaré, engagé à présenter la délibération telle qu'elle a été écrite avec les élus de Saint Maur. Des tracts circuleraient déjà dans cette ville dénonçant le renoncement du maire à un combat emblématique de la droite locale.
Toutes ces petites manoeuvres à l'intérieur des forces de droite ont malheureusement un effet concret : elles retardent un peu plus l'avancée d'un dossier urgent, l'amélioration des transports en commun dans l'est parisien.