Selon un article du quotidien Le Parisien (21/02/2006), les préfets du Val de Marne, Bernard Tomasini, et d’Île de France,
Selon Bernard Tomasini, qui représente l’État dans le département, « le bilan de l’utilisation de la bande d’arrêt d’urgence en cinquième voie de circulation en heure de pointe s’est révélé très positif. Cette voie auxiliaire permet de réduire une bonne partie des bouchons (…). Créer une voie supplémentaire à ce niveau n’aurait pas réglé le problème de l’entonnoir au niveau
En conséquence, les préfets recommandent donc l’adoption d’un projet fondé sur un aménagement du scénario B (celui qui ne prévoit pas d’élargissement) avec, notamment, l’étude de protections phoniques centrales. Cette option devrait permettre d’éviter la pose de piliers en Marne, une des principales inquiétudes des riverains puisque ces équipements auraient eu pour conséquence des travaux lourds et longs, impliquent des ouvrages complémentaires autour des viaducs actuels.
Le coût du projet est chiffré à 100 millions d’euros, contre 180 pour l’hypothèse d’un élargissement. Le financement n’est pas précisé.
Les travaux prévoient les protections sonores, le traitements des eaux pluviales, la valorisation des espaces délaissés et la rénovation de l’éclairage.
Bertrand Landrieu préfet d’Île de France