Le garage Magneville était en procès contre la municipalité, qui lui reprochait d'avoir violé le plan d'occupation des sols, en installant une activité (peinture automobile) non comptaible avec la règlementation. Le concessionnaire Renault mettait en avant ses huit emplois pour dénoncer le procès qui lui était fait.
La cour de cassation vient de trancher, et de donner raison à l'entreprise. L'association de défense du quartier de Polangis (ASEP) et plusieurs riverains ont cependant engagé d'autres poursuites, pour les troubles de voisinage provoqués par les bruits et odeurs liés à l'activité.