Fondée en 2003 notamment par le dessinateur Benoît Sokal
Une jeune femme du nom de Ann Smith est seule dans une Afrique sauvage et mystérieuse. Accompagnée d’un léopard noir comme la nuit, elle descend vers le sud du continent. C’est là que le léopard a vu le jour et que sa propre histoire a débuté… Selon l’éditeur, le jeu est une « véritable métaphore sur le pouvoir et les responsabilités, sur les relations entre un père et sa fille, Paradise est aussi un regard poignant sur les espoirs d’un continent oublié .
La conception est revenue à Benoît Sokal et à son équipe. Un partenariat, signé en janvier 2005, entre WBP et Micro Application a assuré le financement du jeu.
La production graphique a été attribuée à une société slovène, Art Rebel, à partir des " maquettes préparées à Joinville-le-Pont. Sur ce croquis sont repérés les volumes et les décors (boutiques, ponts, fontaines, escaliers…). Les dessins des détails importants sont exécutés par Benoît Sokal. L'interactivité repose sur le moteur de jeu Opalium, mis au point à Montréal (Québec). La production musicale revient au compositeur Dimitri Bodianski, qui avait déjà composé les musiques de l'Amerzone et de Syberia.
La phase post-production est effectuée en grande partie dans les studios de Joinville-le-Pont, qui permettent d'ajouter la valeur artistique aux graphismes en y intégrant les effets de lumière, la précision des textures, les animations des décors...
Les éditions Casterman ont sorti le premier tome de la bande dessinée Paradise et préparent un livre sur le développement du jeu.
Une scène de Paradise